Architecture outsider ?
Les recherches présentées suivent la problématique de l’irrationnel dans la conception du design architectural. Elles ont comme origine un long travail de documentation et d’analyse, sur un ensemble d’architectures outsiders, mis en place depuis 2004 et, qui est le sujet de la thèse « Catalogue raisonné d’architectures outsiders : repères historiques et théoriques accompagnés d’un parcours non exhaustif, au Québec, en France et en Belgique » (UQÀM, 2015).
Comment un ensemble de pratiques singulières, souvent l’œuvre d’autodidactes, peut-il inspirer et influer sur la conception en architecture ?
L’élaboration des différents projets suit cette ligne et propose des études en plans et maquettes dans un équilibre souvent précaire entre la faisabilité, la viabilité et, l’impossibilité due aux normes et aux contraintes physiques et techniques. Ces travaux sont aussi le prétexte à la collaboration avec des artistes dont la pratique n’est pas directement liée à l’architecture, dans un échange dont une finalité est de dépasser le schéma devenu incontournable de l’intégration de l’œuvre à l’architecture dans une proximité qui cloisonne les pratiques. Ici l’architecture est l’œuvre.
Enfin, ces différentes expériences permettent la mise à l’essai de nouvelles pratiques et média, comme l’exploration des différents types d’impressions 3D, mais aussi l’assistance des intelligences artificielles (en développement).
Les recherches présentées suivent la problématique de l’irrationnel dans la conception du design architectural. Elles ont comme origine un long travail de documentation et d’analyse, sur un ensemble d’architectures outsiders, mis en place depuis 2004 et, qui est le sujet de la thèse « Catalogue raisonné d’architectures outsiders : repères historiques et théoriques accompagnés d’un parcours non exhaustif, au Québec, en France et en Belgique » (UQÀM, 2015).
Comment un ensemble de pratiques singulières, souvent l’œuvre d’autodidactes, peut-il inspirer et influer sur la conception en architecture ?
L’élaboration des différents projets suit cette ligne et propose des études en plans et maquettes dans un équilibre souvent précaire entre la faisabilité, la viabilité et, l’impossibilité due aux normes et aux contraintes physiques et techniques. Ces travaux sont aussi le prétexte à la collaboration avec des artistes dont la pratique n’est pas directement liée à l’architecture, dans un échange dont une finalité est de dépasser le schéma devenu incontournable de l’intégration de l’œuvre à l’architecture dans une proximité qui cloisonne les pratiques. Ici l’architecture est l’œuvre.
Enfin, ces différentes expériences permettent la mise à l’essai de nouvelles pratiques et média, comme l’exploration des différents types d’impressions 3D, mais aussi l’assistance des intelligences artificielles (en développement).